Pendant l’année 2020, la crise sanitaire liée à l’épidémie de Coronavirus aura épargné peu de sociétés cotées. Seuls les géants de l’Internet américain, comme Amazon, Google, Apple ou Microsoft, ont réussi à se démarquer et à voir leurs valeurs progresser sur les marchés boursiers.
Les géants de l’internet pèsent lourd sur les marchés financiers
Malgré la pandémie mondiale, les géants de l’internet, comme Google, Amazon ou Apple, ont vu leurs valeurs progresser sur les marchés financiers durant l’année écoulée. De nombreux conseils sur le cours des actions, comme celles d’Amazon, sont proposés sur certains sites tels que le suivant : https://actufinance.fr/acheter-actions/amazon/. Avec plus de 7.000 milliards de dollars de capitalisation, les géants de l’Internet détiennent l’équivalent de 22 % du S&P 500. À l’inverse, les autres secteurs comme la banque, le pétrole, l’automobile ou le bâtiment, ont vu leurs valeurs baisser de manière significative en bourse. Ce phénomène est de toute évidence lié aux confinements mis en œuvre pour endiguer la propagation du Coronavirus.
D’autres secteurs comme l’aéronautique, l’immobilier commercial, le luxe ou les services informatiques, ont également été très touchés. L’arrêt quasi-total des flux touristiques en est la cause. Avec la conception du vaccin contre le Covid-19, l’activité économique mondiale devrait reprendre. Régis par l’Autorité des Marchés Financiers, les marchés financiers devraient reprendre petit à petit. Certains experts en la matière pensent que l’année 2021 devrait être, une année, favorable pour les Bourses européennes. Le soutien financier des Banques Centrales Européennes, mais aussi des gouvernements, pour dynamiser et soutenir la croissance du PIB mondial entre également en jeu aux yeux des investisseurs. Selon eux, le redressement de l’activité pourrait favoriser les actions des pays émergents ou de l’Europe.
L’année 2021 débute avec une fluctuation des valeurs pour les réseaux sociaux
En ce début d’année 2021, les actions des géants de la high-tech, Twitter et Facebook, ont vu leurs actions baisser suite à la fermeture des réseaux sociaux du 45ème président américain Donald Trump en raison d’une suspicion au mouvement QAnon. Avec un repli respectif de 4 % et de 6,4%, les deux réseaux sociaux ont vu leurs valeurs diminuer, et ce, en très peu de temps. Estimée à 40 milliards de dollars, la capitalisation de Twitter est 19 fois plus faible que celle de Facebook. Celle-ci est estimée à environ 762 milliards. Ce cas concret démontre que les valeurs technologiques sont très sensibles et sujettes d’évoluer selon les événements qui marquent le monde. À titre informatif, le réseau social Facebook a un ratio cours sur bénéfice supérieur à 40. De ce fait, tous les facteurs pouvant perturber la vision des traders ou des investisseurs sur une valeur à court ou moyen terme peut engendrer plus de volatilité.
Assise à la terrasse d’un café typiquement parisien, Élodie Moreau feuilletait avec attention les dernières pages de son scénario. Diplômée de la prestigieuse École nationale supérieure des métiers de l’image et du son (La Fémis), elle avait rapidement gravi les échelons pour devenir l’une des scénaristes les plus recherchées de Paris. Spécialisée dans la création de séries télévisées captivantes, Élodie avait un don pour tisser des histoires qui captivaient le public, mélangeant habilement drame, mystère et une touche de comédie française. Son dernier projet, une série ambitieuse explorant les dessous du cinéma parisien des années 60, promettait déjà de révolutionner le paysage télévisuel. Alors qu’elle prenait une gorgée de son café noisette, Élodie savait qu’elle était sur le point de donner vie à une œuvre qui marquerait l’histoire du cinéma et de la télévision française.
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