Qui n’a jamais rêvé d’avoir son propre cinéma à la maison. En 2013, LG lançait son projecteur laser HECTO pour vous offrir un home-cinéma à projection laser. Au revoir les lampes et bonjour le laser, plus endurant et sans risque d’atténuation lumineuse entre l’écran et sa source. LG révolutionnait le home-cinéma avec son projecteur laser qui se plaçait à seulement quelques centimètres de l’écran et pas de l’autre côté derrière vous comme l’ancêtre du vidéoprojecteur. Discret et silencieux, il s’utilise non plus avec un écran blanc mais avec un écran noir fixé sur le mur. À l’époque, ce home-cinéma à projection laser venait concurrencer la tv Full-HD mais était supposé être le rival de la tv OLED. Bref, l’ère du cinéma à la maison a connu un nouveau souffle lancé par la marque LG.
L’ère des mini projecteurs TV
2013, c’est loin, en tout cas, en terme de nouvelles technologies. À l’époque, on parlait d’un prix de vente (en France) de huit à dix mille dollars pour un home-cinéma à projection laser. Alors que paradoxalement, les places de cinéma ont vu leurs prix flamber ces dernières années, nombreux sont les cinéphiles à avoir du se contenter d’un mini projecteur pour profiter d’un film en “grand écran”. Heureusement, les technologies de ces appareils ont largement évolué et on peut aujourd’hui trouver des mini vidéoprojecteurs très performants pour un prix très raisonnable.
Par exemple, les derniers modèles présentaient une résolution 4K dotés d’une luminosité pouvant aller jusqu’à 2500 lumens et d’un contraste de 2000:1, ce qui représente un très bon rapport avec la petite dimension de l’appareil, qui tient généralement dans une main. Certains modèles proposent même les haut-parleurs intégrés. Mais l’avantage certain de ces mini projecteurs, et qui a sans doute fait leur grand succès, c’est leur connectivité développée (HDMI, USB, wifi, Bluetooth…) qui leur permet de se brancher sur n’importe quel terminal, tels que les ordinateurs, les tablettes ou encore les smartphones. Le tout, couplé a un format et un poids très réduit (en moyenne 150 grammes), ont rendu ces appareils très répandus, tant pour des usages personnels que professionnels : que ce soit pour la projection d’une présentation au travail, pour la projection d’un film au salon entre amis ou dans la chambre pour une nuit romantique, ou encore pour diffuser un diaporama de photos à une fête de famille, le mini projecteur s’est toujours rendu très utile.
Depuis LG, d’autres marques se sont lancées dans le home-cinéma à projection laser
Aujourd’hui, LG n’est plus la seule marque sur le marché et les prix restent élevés bien que diversifiés et d’autres marques se sont lancées dans le home-cinéma à projection laser.
On peut citer Hisense avec son laser tv UHD (ultra-haute définition) qui propose un vidéoprojecteur ultra courte focale 80” et 100” ou encore le SIM2xTV (14000€), le Sony VPL-VW760ES (15000€), le Epson EH-LS100 (3000€), le Acer VL7860 (moins de 4000€), le Optoma UHZ65 (autour de 5000€). On peut d’ailleurs préciser que Sony s’en sort plutôt bien sur ce marché de la technologie laser.
Et oui, aujourd’hui, en 2018, on parle de « laser tv » pour définir un vidéoprojecteur basé sur une ultra courte focale et utilisant la technologie laser. Prenons l’exemple de la marque Hisense qui proposera (normalement en 2018 en France) deux modèles de laser TV : le premier de 80 pouces sera doté d’une source laser tandis que le second de 100 pouces en comptera deux pour, bien évidemment, plus de puissance et de qualité (bien que le premier soit déjà extrêmement performant). Et en plus d’une autonomie de 20 000 heures, il aura un tuner TNT intégré. Mais ce n’est pas tout puisque l’ensemble sera composé également d’un écran spécial anti-reflets avec en plus un caisson de basses sans fil pour parfaire l’expérience du cinéma à la maison.
De quoi satisfaire les plus cinéphiles et amoureux de nouvelles technologies cinéma d’entre vous.
L’association du laser TV et de la smart TV : c’est possible
Hisense ne va pas simplement proposer deux modèles de laser TV, il va aussi faire en sorte qu’il y ait un petit plus d’intégré : la smart TV sous le nom de Vidaa U (qui existe déjà dans les tv de cette marque). Cette fonction permettra de customiser l’écran du laser tv tout en proposant l’accès à un navigateur internet, à des applications, à Netflix en 4K, pour ne citer que quelques fonctionnalités.
Hisense prévoit de mettre ses laser TV en vente en France en mai 2018 avec des prix allant de 2990€ (pour le modèle de 80 pouces) à 9990€ (pour le modèle de 100 pouces). Il va donc falloir attendre encore un peu avant de profiter de tarifs tous publics car cette technologie laser reste encore « nouvelle » et à ces prix là, seuls certains professionnels et quelques particuliers pourront s’offrir ce plaisir de cinéma haute qualité à la maison.
Quelques avantages du laser tv
On peut commencer par un avantage très simple mais énorme : la source lumineuse d’une technologie laser a une autonomie de 20000 heures tandis que les lampes nécessitent d’être remplacées plus fréquemment, plus ou moins au bout de 5000 heures ou 8000 heures au mieux.
Un projecteur laser est beaucoup plus discret et silencieux et, esthétiquement, il est aussi plus design et moins encombrant. Le fabricant SIM2 propose même son modèle encastré dans un meuble pour le rendre encore plus discret et design. Une petite folie qui a son prix puisqu’il faut débourser pas moins de 14000€ pour s’offrir ce modèle sans compter l’option d’encastrage sur mesure qui est à rajouter si désirée.
Que ce soit de jour ou de nuit, la qualité du laser tv ne sera pas titillée avec sa résolution 4K qui est nettement supérieure à la Full HD.
Un laser tv peut offrir une image de 1,5 à 3 mètres de diagonale sans devoir être placé à l’autre bout d’une pièce. En somme, un minimum de recul (environ 30-40 cm) pour un maximum de confort et de qualité.
Le laser tv n’est pas seulement un équipement de haute technologie, c’est aussi un objet design voire décoratif.
A noter que la technologie laser requiert bien moins de maintenance, enfin, aucune maintenance en réalité.
Assise à la terrasse d’un café typiquement parisien, Élodie Moreau feuilletait avec attention les dernières pages de son scénario. Diplômée de la prestigieuse École nationale supérieure des métiers de l’image et du son (La Fémis), elle avait rapidement gravi les échelons pour devenir l’une des scénaristes les plus recherchées de Paris. Spécialisée dans la création de séries télévisées captivantes, Élodie avait un don pour tisser des histoires qui captivaient le public, mélangeant habilement drame, mystère et une touche de comédie française. Son dernier projet, une série ambitieuse explorant les dessous du cinéma parisien des années 60, promettait déjà de révolutionner le paysage télévisuel. Alors qu’elle prenait une gorgée de son café noisette, Élodie savait qu’elle était sur le point de donner vie à une œuvre qui marquerait l’histoire du cinéma et de la télévision française.
