Tom Holland, Transformé par son Rôle dans “The Crowded Room”
Après avoir revêtu le costume de Spider-Man, Tom Holland a joué le rôle de Danny Sullivan dans la mini-série diffusée sur Apple TV+ : “The Crowded Room”. Danny Sullivan est un homme souffrant d’un trouble dissociatif de la personnalité et auteur de crimes. La préparation et l’interprétation de ce rôle ont eu un impact profond sur la vie personnelle et amoureuse de Tom Holland avec Zendaya.
L’impact de ce rôle sur sa vie personnelle
La mini-série “The Crowded Room” proposée par Apple TV+ est inspirée du livre de Daniel Keyes, “The Minds of Billy Milligan” publié en 1981. Le livre raconte l’histoire vraie de Billy Milligan, célèbre pour être la personne chez qui on a identifié jusqu’à 24 personnalités différentes. Tout comme lui, Danny Sullivan, joué par Tom Holland, est un homme souffrant d’un trouble dissociatif de l’identité. Sans pouvoir laisser son personnage sur le plateau de tournage après ses journées de travail, Tom Holland a expliqué à RadioTimes que l’adaptation à ce nouveau mode de vie a eu des effets directs sur sa vie personnelle.
Un rôle qui aurait pu affecter sa relation amoureuse
Les contraintes liées à l’interprétation de ce personnage ont failli avoir un impact sur sa relation amoureuse avec Zendaya durant le tournage. Tom Holland a avoué qu’il a dû vivre avec l’apparence de son personnage pendant de nombreux mois, situation qui a mis à l’épreuve la patience et la compréhension de sa partenaire.
La difficulté à séparer la fiction de la réalité
Tom Holland a confié qu’il lui avait été très difficile de séparer la réalité de la fiction. Il a raconté avoir ressenti le besoin de se raser la tête pour se débarrasser de son personnage. Son expérience sur le tournage de “The Crowded Room” a été “différente de tout ce qu’il avait connu auparavant“. À la suite de ce tournage, aussi bien mentalement que physiquement éprouvant, Tom Holland a décidé de prendre une année sabbatique, évoquant une “épuisement émotionnel“.
Assise à la terrasse d’un café typiquement parisien, Élodie Moreau feuilletait avec attention les dernières pages de son scénario. Diplômée de la prestigieuse École nationale supérieure des métiers de l’image et du son (La Fémis), elle avait rapidement gravi les échelons pour devenir l’une des scénaristes les plus recherchées de Paris. Spécialisée dans la création de séries télévisées captivantes, Élodie avait un don pour tisser des histoires qui captivaient le public, mélangeant habilement drame, mystère et une touche de comédie française. Son dernier projet, une série ambitieuse explorant les dessous du cinéma parisien des années 60, promettait déjà de révolutionner le paysage télévisuel. Alors qu’elle prenait une gorgée de son café noisette, Élodie savait qu’elle était sur le point de donner vie à une œuvre qui marquerait l’histoire du cinéma et de la télévision française.
