Découvrez les pépites du cinéma marocain avec la mise en avant des chants, films et archives insubordonnés lors de l’événement Archi Vives. Cette initiative est conçue en partenariat avec l’Université Paris Cité pour promouvoir les archives cinématographiques et leurs liens avec la création contemporaine. Plongez au cœur de la période révolutionnaire et culturelle du Maroc, avec un programme qui mettra en lumière l’ambition et le génie du réalisateur Ahmed Bouanani.
Le cycle Archi Vives : une exploration artistique unique
Programmé tous les trimestres, le cycle Archi Vives met en valeur les trésors cachés du cinéma marocain à travers des projections, rencontres et conférences. En explorant et valorisant les archives filmiques, cet événement permet de tisser des liens entre passé et présent ainsi qu’entre différentes disciplines artistiques et scientifiques. Une expérience inédite à ne pas manquer !
Un programme riche et diversifié
- Projection : “The Calendar : The films” réalisé par Nadir Bouhmouch (2019)
- Conférence : animée par Marie Pierre Bouthier et Touda Bouanani
- Rencontres : échanges et discussions autour des oeuvres présentées
L’hommage à Ahmed Bouanani, figure majeure du cinéma marocain
Dans cette nouvelle édition, l’événement Archi Vives met en lumière le travail et l’engagement de Ahmed Bouanani, réalisateur marocain, qui déclare en 1973 : “Ma grande ambition est de réaliser un film sur l’épopée marocaine du début du siècle”. Cinquante ans plus tard, sa vision continue d’inspirer les nouvelles générations d’artistes et de chercheurs.
Le bled siba, terreau fertile pour l’art et la révolte
Symbole fort de l’histoire marocaine, le bled siba représente ces territoires où règne l’insoumission aux autorités centrales. Ainsi, les réalisateurs, poètes et artistes de l’époque y puisent inspiration et audace pour créer des œuvres reflétant leur volonté de liberté et d’indépendance.
Une semaine d’immersion dans le patrimoine cinématographique marocain
Du lundi 4 décembre au dimanche 10 décembre 2023, vivez une expérience culturelle intense à travers différentes projections et rencontres autour des archives insubordonnées du cinéma marocain. Immergez-vous dans cet héritage riche et complexe, pour mieux comprendre les enjeux et les défis qui ont façonné le paysage artistique du Maroc.
Le calendrier des activités : un programme rythmé et passionnant
- Lundi 4 décembre : Ouverture de l’événement et projection du film “The Calendar : The films”
- Mardi 5 décembre : Conférence animée par Marie Pierre Bouthier et Touda Bouanani
- Mercredi 6 décembre : Rencontre avec les réalisateurs et artistes marocains
- Jeudi 7 décembre : Journée spéciale Ahmed Bouanani
- Vendredi 8 décembre : Projections et discussions autour des archives cinématographiques
- Samedi 9 décembre : Ateliers et tables rondes sur la création contemporaine marocaine
- Dimanche 10 décembre : Clôture et bilan de cette semaine riche en émotions
Plongez au cœur de l’héritage insoumis du cinéma marocain
Cet événement unique vous offrira une occasion inédite d’explorer l’histoire et la culture du Maroc à travers ses archives, ses films et les voix de ceux qui ont contribué à forger son identité. Ne manquez pas cette formidable opportunité de découvrir les trésors méconnus du pays et de participer à un véritable voyage dans le temps !
Assise à la terrasse d’un café typiquement parisien, Élodie Moreau feuilletait avec attention les dernières pages de son scénario. Diplômée de la prestigieuse École nationale supérieure des métiers de l’image et du son (La Fémis), elle avait rapidement gravi les échelons pour devenir l’une des scénaristes les plus recherchées de Paris. Spécialisée dans la création de séries télévisées captivantes, Élodie avait un don pour tisser des histoires qui captivaient le public, mélangeant habilement drame, mystère et une touche de comédie française. Son dernier projet, une série ambitieuse explorant les dessous du cinéma parisien des années 60, promettait déjà de révolutionner le paysage télévisuel. Alors qu’elle prenait une gorgée de son café noisette, Élodie savait qu’elle était sur le point de donner vie à une œuvre qui marquerait l’histoire du cinéma et de la télévision française.
