Examen de l’exactitude historique des scènes d’armures par un expert
Le conservateur des armes et armures de la Wallace Collection à Londres, Tobias Capwell, est également un expert en armes et armures médiévales. Il a analysé plusieurs scènes de films et séries comme The Last Kingdom, The Mandalorian, Game of Thrones et Le Seigneur des Anneaux. L’objectif était d’attribuer une évaluation et une notation en fonction de leur exactitude historique. Selon Capwell, l’armure que Sauron porte dans le prologue de La Communauté de l’Anneau est parfaitement authentique en termes de design médiéval et de précision des détails.
L’armure de Sauron est tout simplement parfaite
Tobias Capwell a particulièrement étudié le prologue du Seigneur des Anneaux : La Communauté de l’Anneau. Dans cette scène, Sauron est présenté pour la première fois à l’écran lorsqu’il fait une entrée fracassante dans la bataille, vêtu d’une imposante armure de combat. Capwell a été tellement impressionné par l’armure de Sauron dans cette scène qu’il lui a attribué la note parfaite de 10/10. L’armure de Sauron fait donc partie des nombreux éléments qui rendent le prologue de La Communauté de l’Anneau si emblématique.
Passage en revue de The Mandalorian, The Last Kingdom et Game of Thrones
Capwell a également commenté d’autres séries comportant des armures, comme The Mandalorian diffusée sur Disney+. Il a remarqué que les casques dans la série Star Wars ont été influencés par les styles grec et corinthien. Une fois encore, Capwell a attribué une note parfaite à la série. Cependant, concernant la série The Last Kingdom, Capwell estime que les boucliers rectangulaires représentés n’ont jamais été utilisés, ce qui lui vaut une notation de 0/10. Enfin, la série Game of Thrones reçoit également une notation nulle pour une scène où une lame d’épée est fondue puis refondue. Selon Capwell, cette pratique aurait rendu l’arme extrêmement cassante, rendant impossible la fonte d’une armure pour en fabriquer une nouvelle.
Assise à la terrasse d’un café typiquement parisien, Élodie Moreau feuilletait avec attention les dernières pages de son scénario. Diplômée de la prestigieuse École nationale supérieure des métiers de l’image et du son (La Fémis), elle avait rapidement gravi les échelons pour devenir l’une des scénaristes les plus recherchées de Paris. Spécialisée dans la création de séries télévisées captivantes, Élodie avait un don pour tisser des histoires qui captivaient le public, mélangeant habilement drame, mystère et une touche de comédie française. Son dernier projet, une série ambitieuse explorant les dessous du cinéma parisien des années 60, promettait déjà de révolutionner le paysage télévisuel. Alors qu’elle prenait une gorgée de son café noisette, Élodie savait qu’elle était sur le point de donner vie à une œuvre qui marquerait l’histoire du cinéma et de la télévision française.
